© AVATAR : Yumita CELEBRITE : Bradley James
HIBOUX : 95 AVADAKEDAVERISE[E] LE : 24/09/2012 GALLIONS : 104 AGE DU PERSONNAGE : 22 ans PROFESSION : Infirmier à Sainte Mangouste
Kyles RulinSorciers | (#) ♣ Kyles Rulin - Sorcier - Scenario
par la plume de Kyles Rulin ϟ Posté Lun Sep 24 2012, 21:00
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| Kyles Rulin « sorcier » Toutes les occasions sont bonnes pour rire un bon coup ! Je suis représenté(e) par BRADLEY JAMES
¤ NOM : RULIN ¤ PRÉNOM : KYLES ¤ AGE [../../..] : [13/02/1981] 21 ans ¤ NATIONALITÉ : ¤ HABITATION : ¤ PROFESSION / ANNÉE (élèves) : INFIRMIER ¤ SITUATION : | ¤ ENFANTS : ¤ SANG : PUR ¤ CAMP : NEUTRE ¤ PATRONUS : BERGER ALLEMAND ¤ EPOUVANTARD : ETRE ENTERRÉ VIVANT ¤ BAGUETTE : ¤ DON : |
Calm or lunatic - Mon caractère
On dit souvent de moi que je suis facile à vivre. Sociable, aimant m’amuser par-dessus tout, il est en effet rare que je me prenne la tête avec les gens. Par contre, cette façon de vivre a une face cachée : je ne suis pas de ceux qui se battent pour garder une amitié. Si l’autre personne n’y met pas un peu du sien, j’abandonne très vite l’idée de lui courir après. A vrai dire, comme je me fais très facilement de nouvelles connaissances, je ne ressens pas vraiment le besoin de garder les anciennes. Sauf cas exceptionnels bien sûr et, alors, quand vous rentrez dans cette catégorie, vous ne pourrez plus vous défaire de moi. Parce que je suis très, trop, voire même surprotecteur. Demandez un peu à Gwen, elle vous racontera ! Sinon, je pense qu’Alix pourra aussi vous dire que, quand j’ai choisi de poursuivre quelqu’un de mes ardeurs, je peux être des plus tenaces. A part ça, j’aime me sentir utile, c’est pour ça que je me suis lancé dans une carrière d’infirmier. Parce que je trouve qu’on est plus proche des patients que les médecins qui ont souvent à faire avec des personnes sous anesthésie. Moi j’aime voir mes patients se remettre progressivement, discuter avec eux, apprendre leurs peines et leurs bonheurs. Bref, faire dans le social pas juste dans la froideur de la médecine. Mais, peut-être n’est-ce que ma curiosité maladive qui parle là. Peut-être que dévorer tout livre qui passe à ma portée à la recherche d’informations de tout type ne me suffit plus et désormais j’ai, qui plus est, besoin d’en savoir plus sur les gens. C’est possible. A vrai dire ça m’est égal, je suis heureux avec ma vie et c’est bien ce qui compte non ?
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Adventure - Mon histoire
Il paraît que la première manifestation des pouvoirs d’un enfant sorcier en dit beaucoup sur la future personne qu’il deviendra. En ce qui me concerne, je suppose que c’est vrai vu que ce fut peu après la naissance de Gwen. Mère venait de quitter la clinique et elle tenait Gwen dans ses bras, la berçant doucement. Père rentrait tout juste du travail et il s’approcha de Mère pour lui prendre le bébé des bras. Le sourire qui éclaira alors son visage me sembla donc, du haut de mes tout juste trois ans, mener à une seule conclusion : tenir dans ses bras ce petit bout rose qui criait tout le temps devait être agréable. Conséquence logique de cette association d’idées, j’exigeais mon tour à ce jeu apparemment des plus amusants : « prends le bébé dans tes bras ». Sauf que je ne vous fait pas de dessin, Père et Mère étant des parents responsables refusèrent bien entendu de laisser un nouveau-né dans les bras d’un bambin. Alors, frustré, je me mis à bouder fort, très fort, si fort que les murs du salon se teintèrent soudain de rouge pour aller de pair avec mon humeur colérique. Père éclata alors de rire en m’ébouriffant les cheveux et en s’exclamant que j’étais bien le fils de ma mère, incapable de supporter un refus. Le reste de la soirée est assez flou dans mes souvenirs. Je crois me souvenir que Mère s’offusqua, que père rit encore plus et qu’au final Gwen explosa en sanglots, ramenant une fois de plus l’attention de tous sur elle, petite diva qu’elle était déjà.
Le souvenir marquant suivant remonte à l’année de mes quatre ans, bien que j’étais déjà plus proche des cinq que des quatre. J’étais tranquillement assis dans la bibliothèque de Père, une Encyclopédie du monde magique ouverte sur les genoux en train de m’abreuver de connaissances toutes plus farfelues et intéressantes les unes que les autres -saviez-vous par exemple que le premier Rappeltout fut inventé par Maggie Delstine, une sorcière du XVIe siècle pour se rappeler d’arroser ses plantes tous les matins ?- lorsque Mère entra dans la pièce et poussa un cri d’épouvante. Il faut dire pour sa défense que j’avais sorti un nombre incalculable de livres aussi anciens que précieux de leurs étagères parce que les titres me plaisaient et qu’ils gisaient tous étalés autour de moi. Mais le mieux c’est encore que je vous montre mon souvenir, vous comprendrez mieux la situation. Approchez-vous de la pensine.
Début flashback
-Santa Maria, madre di Dio ! Il mio amore, qu’as-tu fait ? Si ton père voit ce désastre ! -Oh bonjour Mama. Je m’informe, voyez-vous. -Tu t’informes ? -Oui Mama. -Pourtant il n’y a pas d’images, il mio angelo. -Mais il y a des mots Mama, c’est bien plus utile pour avoir des informations vous savez.
Fin flashback
C’est ainsi que Mère apprit que son aîné avait appris à lire seul en s’enfermant des après-midis entières dans la bibliothèque de son père tandis qu’elle pensait qu’il jouait tranquillement dans sa chambre. Et, malgré sa fierté, ses inquiétudes étaient fort bien placées car lorsque Père revint le soir -après m’avoir félicité pour mes talents de lecteur- il me laissa on ne peut plus clair que je n’avais pas l’autorisation de prendre des livres sans demander d'abord. En effet, il faut savoir que Père est Langue-de-Plomb alors bon nombre des livres en sa possession ne sont pas à mettre entre les mains d’un enfant, sauf que je n’ai jamais aimé qu’on brime ma curiosité. Alors, bien évidemment, j’ai continué à me faufiler dans la bibliothèque pour satisfaire ma soif de savoir. Père a fini par abandonner l’idée d’essayer de m’en empêcher quand j’avais huit ans et que j’ai craqué et lui ait demandé ce qu’était un Re’em. A partir de là, il a choisi de me fournir les livres que je désirais pour éviter que je ne fouille là où je n’avais pas à mettre mon nez. Enfin, ça c’est ce qu’il croit. En réalité, je connais le mot de passe pour avoir accès la partie réservée de la bibliothèque et il y a longtemps que j’ai pris l’habitude d’aller y faire mon petit shopping, mais en m’assurant toujours que Père ne s’en rende pas compte.
En même temps, il y a une chose à savoir sur Père : il s’inquiète trop pour Gwen et moi. Pour Gwen, c’est normal, elle est plus jeune et c’est une fille alors qui sait ce qu’il pourrait lui arriver mais moi, je sais me débrouiller merci. Bien sûr, Gwen -la sale gosse- me rétorquerait qu’elle est tout aussi capable que moi, et que cette année elle va avoir ses ASPICs donc qu’elle est presque adulte, mais pour moi, elle restera toujours ma PETITE sœur et rien ne changera ça. Même si j’aime particulièrement l’embêter soyons honnêtes. Je me souviens d'ailleurs d’un moment particulièrement marquant quand elle avait six ans et moi neuf. Père, malgré être à l’origine du balai pour enfants qu’elle avait eu pour son anniversaire voyait d’un très mauvais œil que sa petite princesse soit dans les airs. Alors pour le rassurer et embêter Gwen par la même occasion, je piquai la baguette de Mère quand elle était trop occupée à parler avec une de ses amies et quand Gwen voulut attraper le balai, je le fis venir à moi d’un Accio que je voulais discret. Le mot clé dans cette phrase étant « voulais » car, dans les faits, je me suis tout de suite fait prendre. Gwen piqua alors une crise tandis que Père hésitait entre le soulagement de voir Gwen encore au sol et la fureur de voir que j’avais piqué la baguette de Mère. Bref encore une journée lambda chez les Rulin quoi.
La journée qui fut un peu moins lambda par contre fut celle de ma répartition. En effet, j’étais le premier depuis la génération de mon arrière-grand-père paternel -Mère est italienne alors la question ne se pose pas- à ne pas être envoyé chez les Verts-et-Argent. Apparemment ma curiosité insatiable me désignait à aller rejoindre les rangs des Aigles et c’est bien ce que j’ai fait. Heureusement, Père, tout Sang-Pur qu’il soit, n’accorde pas d’importance aux questions de tradition ni de politique et il accueillit la nouvelle avec fierté. A vrai dire, en fait, en y repensant, je me rends compte qu’il ne s’est jamais occupé que de ce qui le regardait, le reste ne le concernait pas et il n’est engagé d’aucun des deux côtés de la « guerre » qui fait rage entre Mangemorts et Ordre du Phénix. Les premiers le laissent tranquille car il a épousé une Sang-Pur italienne et les seconds ne savent probablement même pas qu’il existe vu qu’il n’est mine de rien qu’une Langue-de-Plomb parmi tant d’autres. Bref, à la maison, on s’occupe des questions de famille et c’est tout. Père ne discute pas de politique ni même de son travail avec nous, en même temps travaillant au Département des Mystères ça peut se comprendre, vous me direz.
Mais revenons-en un peu à moi. J’ai donc rejoint la maison de Rowena Serdaigle et ait entamé une scolarité exemplaire. Enfin … sur le plan scolaire je veux dire. Parce que question discipline j’étais probablement le Bleu-et-Bronze le plus excité que mes profs avaient eu depuis belle lurette. Mais, ce n’est pas de ma faute, j’ai besoin d’expérimenter mes nouvelles théories et quelle meilleure manière de le faire qu’à travers des blagounettes innocentes ? Par exemple, je peux vous assurer que Flitwick n’a pas su cacher son sourire quand en troisième année je lui ai expliqué le plus sérieusement du monde que si j’avais gelé l’entrée de la salle commune c’était pour une expérience sociologique consistant à voir combien d’élèves regardaient où ils allaient en marchant et évitaient la zone gelée et combien se cassaient juste la figure. Bien entendu, ça ne l’a pas empêché de me mettre en retenue le reste de la semaine mais je suis sûr qu’en réalité il rêvait d’avoir mes résultats. Pour ceux que ça intéresse, sur trente-cinq sujets étudiés avant de me faire chopper, vingt-trois glissèrent sur la glace sans l’apercevoir, neuf l’évitèrent et seulement trois la firent disparaître d’un sortilège. Comme quoi, l’inattention est le mal de notre siècle !
La vie continua néanmoins son cours et je n’arrêtais pas pour autant mes farcexpériences (ouais c’est un néologisme que j’ai créé et j’en suis très fier d’abord), au contraire, plus le temps passait et plus je me perfectionnais. Mes camarades de dortoir trouvaient bien ça un peu bizarre mais, dans l’ensemble, vu que je suis quelqu’un de très sociable ça ne posait pas plus de problème que ça. Erwan Sanders en particulier semblait m’apprécier et la réciproque était tout aussi vraie donc on traînait pas mal ensemble quand il n’était pas systématiquement fourré avec Lovegood (une fille très sympa mais un peu barge sur les bords de mon point de vue) et Potter. Mais justement en parlant d’Alix Potter, il faut que je vous explique. Erwan en était littéralement raide dingue, ça faisait presque de la peine à voir. J’avais beau lui dire de se bouger, rien à faire, monsieur était totalement coincé. Alors quand elle est soudainement venu me proposer un marché -je faisais semblant de sortir avec elle pour rendre Erwan jaloux et en échange, elle partageait ses plans de farce- évidemment, comme vous vous en doutez, j’ai immédiatement accepté. Je faisais d’une pierre deux coups : on faisait se bouger Erwan et mes projets avançaient dans la bonne direction. Et puis, soyons honnêtes, elle était mignonne comme tout la griffonne et faire semblant de lui plaire ne faisait pas de mal à mon ego. Je me suis donc pris au jeu et l’appelait constamment mia bella. Bah oui, il faut bien qu’avoir une mère italienne serve à quelque chose au moment de jouer les romantiques. On se faisait aussi de faux câlins et, comme j’ai toujours été un mec très tactile, ça paraissait très naturel. Sauf qu’Erwan, ce crétin, au lieu de se battre a commencé à bouder dans son soin et a refusé de me parler à partir de ce moment. Non mais vous y croyez, vous, à une attitude aussi gamine ?
En plus, une autre qui voyait toute cette histoire d’un trèèèès mauvais œil c’était Gwendoline. Mademoiselle, récemment promue deuxième année à Serpentard considérait que Lix était je cite « une mauvaise influence ». Personnellement ça m’a toujours fait rire mais rien à faire, ma sœur est convaincue qu’Alix m’a « perverti », à croire que ma propre sœur ne me connaît pas ! Bref, comme je voyais bien que notre stratagème n’avait fait qu’empirer les choses, on a fini par se « séparer » au bout de trois mois. Sauf qu’Erwan était toujours fâché et Gwen lançait toujours des regards méchants à Lix parce que je n’ai pas arrêté de l’appeler mia bella. En même temps, ça lui allait trop bien -d’ailleurs j’aurais peut-être dû y voir un premier signe d’un attachement plus qu’amical, mais il faut croire que j’étais trop naïf pour m’en rendre compte. Bref, au moins la bonne nouvelle, c’est que Lix et moi sommes restés amis et que pour faire des farcexpériences, elle était bien meilleure qu’Erwan. Au début, j’avais envisagé de m’excuser auprès de lui en lui expliquant ce qui s’était passé mais ça aurait été trahir la confiance de Lix alors j’ai fait une croix sur notre amitié. Je sais que je ne me suis pas franchement battu et que c’est méchant de ma part mais lui non plus n’a fait aucun effort alors la faute est partagée moi je dis.
Mais, bien entendu, comme les choses ne pourraient pas être aussi simples, en fin de septième année, alors que je révisais mon ASPIC de métamorphose sur la table des Serdaigle dans la Grande Salle, Alix est passée et m’a fait un signe de la main et là j’ai eu la révélation. L’idée de ne plus la voir tous les jours l’année suivante m’était soudain insupportable. Elle était un point fixe dans ma vie et rien qu’imaginer de me séparer d’elle m’était douloureux. C’est à cet instant que j’ai eu l’épiphanie : Erwan n’était pas le seul à être amoureux de Lix … Au début, je me suis battu contre cette idée, je suis même sortie avec une Poufsouffle de cinquième année juste pour me prouver que je n’étais pas amoureux mais le rire creux de Melissa et ses cheveux qui n’avaient pas la bonne nuance de roux et son incapacité à inventer la moindre farce valable ont bien vite rendu évident qu’elle n’était qu’une pâle copie de celle que je voulais de nouveau à mon bras, mais pour de vrai cette fois-ci. Sauf qu’entre les ASPICs et les inscriptions dans le supérieur -je voulais pour ma part rejoindre le programme d’infirmerie de Sainte-Mangouste- au final je n’ai pas trouvé le moment opportun de me déclarer. Et puis après, elle est retournée à Poudlard pour encore un an pendant que je commençais ma formation donc la question ne s’est pas reposée, même si mon désir d’elle, lui, augmentait. Et, enfin, le jour de ses dix-huit, j’ai pris mon courage à deux mains et je l’ai attendu à sa porte avec un cadeau dans les bras. Puis, quand elle est arrivée, je lui ai posé la question fatidique mais la seule réponse à laquelle j’ai eu droit c’était : « Je ne sais pas ». Et ça fait bientôt deux ans …
Le pire c’est que je sais pourquoi elle hésite, c’est de la faute d’Erwan ! Alors que quand elle s’offrait à lui sur un plateau, cet imbécile a été incapable de saisir sa chance, maintenant il veut me pourrir la mienne mais non, ça ne se passera pas comme ça ! Je n’ai aucune intention d’abandonner et j’aurais ma réponse et, foi de Rulin, j’ai toute l’intention qu’elle soit positive !
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Et en vrai ?
En réalité, je m'appelle cAP4TAIN tAPIOCA. J'ai atteins l'âge de 21 ans et j'habite en/au nom du pays/ville. J'ai connu Avada Kedavra par XXX. Mes icônes ont été réalisés par © XXX. Je pense être présent(e) sur le forum ... jours sur sept et pour être sûr(e) que je serais validé(e) rapidement, je déclare que OK.
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Dernière édition par Kyles Rulin le Dim Sep 30 2012, 20:11, édité 7 fois |
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