par la plume de Anatole Melis ϟ Posté Mer Avr 24 2013, 23:08
Anatole MELIS « Elève »
" Vaut mieux être ignoré que bien trop surveillé "
Je suis représenté(e) par Liam Aiken
¤ NOM : MELIS ¤ PRÉNOM : Anatole ¤ AGE [13/Février/1988] : 13 ans ¤ NATIONALITÉ : Anglaise ¤ HABITATION :Un petit appartement situé au Chemin de Traverse. ¤ PROFESSION / ANNÉE (élèves) :3ème année ¤ SITUATION : Celibataire
¤ ENFANTS : Aucun ¤ SANG : Pur ¤ CAMP : ¤ PATRONUS : Pas encore, voyons. ¤ EPOUVANTARD : Ma mère sous une apparence qui me plaît guère. ¤ BAGUETTE : 26 cm, bois de cerisier, crin de licorne. ¤ DC : Luka S.J. Potter & Jonathan Crewe
Calm or lunatic - Mon caractère
Tout comme l'a été mon père et mes ancêtres, je suis – ce que l'on pourrait appeler – un possessif maladif. Il m'est impossible de me séparer de ce je possède. Il m'est insupportable de voir l'un de mes biens aux mains d'un ou d'une autre. J'ignore véritablement la raison de ce trait de caractère, tout ce que je sais, c'est que je suis très attachés à mes affaires. Je passe souvent pour un égoïste lorsque je refuse de prêter ma plume, mais je ne peux m'en empêcher d'imaginer le pire. Donnerez-vous vos enfants à n'importe qui ? Je ne crois pas. Alors comprenez-moi.
J'agis rarement sans prévoir un plan de secours. Je n'aime pas les imprévus et je fais en sorte de les bannir de mon quotidien. Je cogite, un peu trop parfois, mais cela me rassure. Je ne suis pas quelqu'un qui se fit à son instinct, mais plutôt à ses méninges. Alors je passe beaucoup de temps à observer mon environnement, les personnes qui m'entourent et je retiens ce qui me semble important de connaître.
Mon père l'était, mon grand-père aussi et je penses en avoir récupérer quelques poussières. J'aime inventer, tout du moins, j'aime imaginer. Les histoires sont mes plans de travail favoris, un jour, j'espère mettre à profit le fruit de mon cerveau. Peut-être que je deviendrais un auteur de conte, ou bien comme mon père, je deviendrais un sorcier qui ne cesse de rechercher et d'inventer de nouveau sortilège pour le bien de notre Monde. Ceci dit, auteur de conte, ne serait pas si mal.
Je cherche, je trouve, je récupère et j'entasse. J'ai cette manie de collectionner tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi, mais quand quelque chose me tombe dans les mains, une petite voix me souffle à l'oreille ; « Et si cela t'étais utile un de ces jours ? » Alors je le garde, jusqu'à ce fameux jour qui ne parvient pas toujours. On pourrait me considérer de voleur, mais ce qui ne se trouve pas dans une poche, n'appartient à personne. Je suis seulement un récolteur d'objets bien souvent perdu ou bien des objets que d'autres se débarrasse sans se douter de leur importance, car un jour, ça cet objet-là ou cet objet-ci peut servir.
C'est peut-être se qu'on pourrait me reprocher le plus. Mon manque d'expression, sans pour autant manquer de sentiments. Ce n'est pas que je n'aime pas sourire, ou bien grimacer, seulement que je n'en ai pas l'habitude. Mon visage reste aussi lisse que la surface du lac de Poudlard. Peut-être que je dois cela à mon éducation, après tout, mon père et ma mère n'exprimait guère de choses, sauf dans leurs paroles qu'ils nous adressaient. Je leur dois aussi mon attitude constante, ce calme indélogeable. Bien sûr, je connais ce qu'est l'énervement, la panique, mais je ne sais garder que le calme, même devant les mots les plus blessants. Pour contrer cela, je possède un assez bon répondant.
Toutes conversations qui résonnent à mon oreilles devient alors la mienne. J'ai les oreilles qui gambades, les yeux qui balayent, mais ma langue reste - malgré tout - bien liée. Je m'intéresse un peu à tout ce qui se passe et qui pourrait se passer dans mes alentours. J'entends, je vois et je sais. C'est ainsi que ma curiosité fonctionne.
Essayer d'arracher un os de la gueule d'un chien et vous saurez à peu près ce qu'il en est lorsque l'on essai de me décourager. Je n'aime pas abandonner. J'ai cette ténacité, la même qui à permit à mon ancêtre de maintenir sur pied cette maison où je vivais. Je pourrais agacer, mais ce n'est pas vraiment mon problème. Ce n'est que le vôtre. J'en suis désolé.
Adventure - Mon histoire
Il était une maison fondée à la pointe d'une falaise. Un emplacement décidé par un sorcier qui – pourtant prévenu du danger – souhaitait s'approprier ce terrain. Face à la ténacité du sorcier, personne ne voulait l'en empêcher. Ainsi la maison fut battit quelques années après.
Au début, tout semblait magnifique dans cette maison, jusqu'au jour où la pointe de la falaise était venu à s’effondrer, réveillant en sursaut le sorcier et sa femme. « Mon amour, qu'est-ce se tremblement ? Est-ce le chien ? » Demanda Madame, l'esprit encore partagé entre réalité et rêverie. « Voyons ma mie. Nous n'avons point de chien. Restez-là et dormez en paix. Je reviens. » Lança le sorcier en allant se vêtir de sa longue robe de chambre. Sa femme à nouveau endormi, le sorcier sortit de sa maison et remarqua alors que l'arrière de celle-ci pendait quelques mètres au-dessus des récif.
Ce n'est que le lendemain que le sorcier revint au côtés de sa femme qui s'apprêtait à se lever. Surprise, elle lui demanda «Où étiez-vous au cour de cette nuit ? » Son mari, déjà tête sur l'oreiller, lui répondit « Pas de panique. J'ai placé quelques poutres pour tenir notre toit. Sachez que pour un peu, la maison à manqué d'y passer . Très cher. Souhaitez moi bonne nuit et veuillez interdire aux enfants de jouer dans le salon. Ils pourraient traverser le plancher si jamais ils venaient à y sautiller. » Le sorcier s'endormit.
Quelques mois plus tard, un nouveau tremblement resurgit. A nouveau, le bord de la falaise venait à s'effriter de nouveau sous la maison. « Mon amour, un nouveau tremblement. » S'inquiéta Madame, quelques bigoudis sur la tête. « En effet. Tenez-moi cette tasse de thé. Je vais voir ce qui se trame » Dit le sorcier, déposant sa tasse entre les mains de sa femme, avant de gravir le salon qui penchait diagonalement. Une fois dehors, le sorcier constata de nouveau que sa maison, cette fois entière, ne reposait sur rien. Ce n'est que le soir, que le sorcier revint auprès de sa femme, toujours la tasse de thé entre les mains. « Est-ce grave ? » Demanda t-elle. « Non. Rien de grave. Il suffisait juste de relever l'arrière de la maison. En commençait à pencher légèrement. » Il l'informa avant de reprendre sa tasse de thé et la lecture de son journal.
'[...] Ainsi, il était une maison qui gît à la pointe d'une falaise, une maison soutenue par de fins et désordonnée pilotis qu'un vieux sorcier avait posé pour ne pas être dans l'obligation de quitter son bien qu'il avait mit tant de temps à posséder.' Notre père nous racontait souvent l'histoire de cette maison. Elle pendait là depuis bien des années maintenant, grâce à un ancêtre suffisamment possessif et têtu pour ne rien lâcher. Cette maison, j'y ai vécu avec mon père, ma mère et ma sœur. Nous y avons toujours vécu sans la moindre inquiétude, il suffisait de suivre quelques règles pour ne pas se risquer.
-Règle n°1 :Il était interdit de jouer dans le salon, car le plancher pouvait céder sous nos pieds, si jamais l'envie nous venait de sautiller. -Règle n°2 : Il était interdit d'être à plus de deux dans une même pièce, sous peine de déranger l'équilibre de la maison. -Règle n°3,4,5,6 et 7 : Il était interdit de crier, de courir, d'écouter de la musique, de frapper à la porte, de sonner, car les vibrations pouvant être causé risquait de nous le faire regretter.
Nous vivions alors dans le silence et le calme. Pas une agitation. Pas une visite venait perturber notre quotidien. Il fallait naître dans cette ambiance pour la supporter, un détail qui était le cas de ma sœur et moi. Je suis née deux ans après, faisant d'elle l’aîné et moi le cadet. Nous nous sommes toujours entendu, comme il nous était impossible de nous chamailler (Règle n°3). La petite bibliothèque familial était notre salle de jeu lorsque le temps ne nous permettait pas de s'amuser à l'extérieur. Nous adorions les histoires, comme celles que Beedle le Barde avait écrite dans son célèbre livre, mais nos histoires préférées ne faisait pas partie de ceux-là. Celle que nous pouvions nous conter – sans relâche - tous les soirs étaient les nôtres, celle que nous avions inventé et que nous espérions écrire un jour. Hélas, il n'en sera jamais ainsi.
Alors que notre monde continuait de ne pas tourner très rond. Notre mère se retrouva sujette à un mal qui – petit à petit – la força à ne plus produire le moindre effort, ni même le moindre mouvement sous peine que sa peau se fêle comme le verre. L'effet d'un sortilège dont le seul inventeur n'était que mon père, dont les recherches et créations avaient intéressé – fut un temps – ces sorciers que l'on pourraient croire, dépourvu de leur âme ; les Mangemorts. « Considérez-vous chanceux que l'un de vos ancêtres n'ait pas eu l'idée de fricoter avec un moldus. » Notre père ne cessait de nous le répéter. Il est vrai que c'était une chance d'être Sang-Pur, surtout par les temps qui court. Dans un cas inverse, Lise n'aurait certainement jamais passé les portes de Poudlard, moi non plus d'ailleurs. « Ceci dit, ce n'est pas une raison pour se comporter comme des Mangemorts. Compris ? Maintenant, allez vous brosser les dents et ne faites pas couler l'eau trop fort...cela pourrait faire exploser la plomberie. » Le lendemain, j'allais faire mon entrer à Poudlard. Ma sœur n'avait cessé de me préparer. « Fait toi discret. » Elle m'avait conseillé et c'est se que j'ai fait.
Il m'arrivait souvent d'imaginer mon père, seul dans cette maison, passant son temps dans son bureau, dans l'espoir de parvenir au contre sort dont ma mère avait été la cible. La culpabilité le dévorait et le fatiguait, bien que ma sœur et moi nous ne cessions de lui rappeler qu'il n'était en aucun cas responsable de ce qui était arrivé. Après tout, il n'en était que l'inventeur de ce sortilège, mais pas le lanceur. Il n'était jamais bon de décevoir un Mangemort.
Durant ma premier année, je ne pouvais me permettre de penser uniquement aux troubles de ma famille. J'avais une année d'études à réaliser et je comptais bien m'en débarrasser du mieux que je le pouvais. Comme tout élève, certains cours me parlaient plus que d'autres et certains professeurs m'intéressaient plus que d'autres, mais je ne montrais rien de tout cela. Comme le meilleur et comme le pire, mes professeurs n'ont jamais su et vu ce que je pouvais d'eux, ni même de leur manière de faire. Mon visage n'a jamais exprimé le moindre sentiment et ce depuis toujours, peut-être que le simple fait de tirer le moindre trait sur mon visage aurait pu faire effondrer notre maison. Bien évidemment, je le pense avec beaucoup d'ironie. J'ai été assez moqué sur ma manière d'être, mais j'avais la chance de pouvoir me moquer de beaucoup de paroles et puis, au fur et à mesure que les mois ont passé, je suis devenu presque inexistant aux regards des autres. A mon plus grand plaisir. Ainsi je pouvais commencer à prendre mes marques dans cette école, jusqu'à trouver un endroit que moi seul semblait côtoyer. Bien vite, je m'y étais installé.
La première année toucha à sa fin et il fut l'heure pour moi et ma sœur de retourner chez nos parents. Notre père était venu nous chercher à la gare. Son visage cerné et dépité, nous racontait bien plus que nos maigres conversations. Quant à notre mère, elle courait à une pénible fin. Les organes, à leur tour, subissaient l'effet du sortilège et une simple toux pouvait la réduire en un tas de poussière. La chambre parentale, où elle reposait, sentait le renfermé. « Je crains qu'un simple courant d'air puisse l'enrhumer. » Nous disais notre père qui aussitôt après nous avoir regardé mangé, repartait dans son bureau où il y restait jusqu'au lendemain matin. Avec ma sœur, je passais la plupart de mon temps à attendre avec une boule au ventre, le moment où la mort viendrait sauver notre mère de son supplice. Nous étions réaliste et nous savions que notre père était bien loin de réussir, seul lui semblait garder une lueur d'espoir dans cette histoire. Puis un jour, ce moment est arrivé, mais pas comme nous l'avions pensé.
Nous étions en plein rêve lorsque la voix de notre père vint faire trembler les combles de notre maison. Une vague de poussière m'était tombé sur le visage. J'ai retrouvé ma sœur dans le couloir, nous écoutions alors. « Dîtes-lui que je mets un terme à notre collaboration. » Parlait notre père. Nous sommes descendu, le voyant éteindre le feu de cheminée. « Retournez vous coucher ! » Nous avait-il ordonné. « Et sans un bruit ! » Il précisa alors que nous commencions déjà à monter l'escalier avec une douceur pour que nos pieds ne viennent pas à traverser l'une des marches en bois.
J'avais reconquit mon sommeil sans mal, jusqu'à ce que les murs de la maison se mettent à trembler. Nous étions à la moitié de notre nuit, lorsque ma sœur de tira de mon lit. « Vite, elle s'écroule ! » M'avait-elle appris. Je crois bien que c'est la première fois que je l'entendais crier de la sorte. A présent, s'empêcher de crier n'avait guère d'importance. Très vite, nous nous sommes empressé dans le couloir où nous avons croisé notre père qui sortait de son bureau. « Vite ! Sortez ! » Nous disait-il, en s'approchant de la chambre où reposait notre mère. « Mais... » Commençait ma sœur. « Pas de mais, faîtes ce que je vous dit ! » Avait-il renchérit, en nous attrapant par le col pour nous forcer à descendre l'escalier. Nous écoutions le bois des pilotis craquer et le sol se déformer à chaque fois que l'un d'entre eux venait à céder définitivement. Par la fenêtre, d'étrange silhouette volait dans les aires, déchargeant du bout de leur baguette, une lueur rougeâtre qui venait frapper et éclater les pilotis de notre maison. Celle-ci semblait hurler de douleur. Je vins à tirer ma sœur par le bras, la forçant à passer le pas de la porte d'entrée. Nos pieds s'étaient à peine posés sur le pallier, que derrière nous, la maison basculait déjà dans le vide. Ne laissant que l'encadrement de la porte d'entrée devant laquelle nous nous tenions encore.
Nous y sommes restés quelques instants avant de pouvoir réagir de nouveau. Au pied de la falaise, les débris de notre maison, écrasé sur les récifs et emportés par les vagues.
« Partons. » En avait Décidé ma sœur. Ainsi nous traversions jusqu'à l'aube les quelques kilomètres qui nous séparait du premier petit village anglais, où vivait un ami de nos parents. Il nous avait reçu chaleureusement. « Malheureusement, je peux rester bien longtemps parmi vous. » Nous avait-il annoncé quelques jours plus tard. Horcus était Archéomage, un métier qui obligeait souvent au sorcier de se rendre dans différents endroits pour travailler sur des fouilles. « Mais je me vois mal vous mettre à la porte pour autant. Je vais donc vous confier l'appartement que mon frère ma légué à sa mort. Vous pourrez y vivre jusqu'à votre départ à Poudlard. » Nous lui étions très reconnaissant. Dés le lendemain, moi et ma sœur avons transplané avec l'aide d'Horcus jusqu'à Londres. L'appartement se trouvait au sein même du Chemin de Traverse, les fenêtres avaient été condamnées par quelques planches. « Certes, ce n'est pas ce qu'il y a de plus cosy, mais c'est mieux que rien. » Il était clair que l'appartement n'avait pas été habité depuis quelque temps. Le parquet regorgeait d'une épaisse couche de poussière et tout les meubles étaient protégés par de vieux morceau de tissus, eux aussi ensevelit sous la poussière. D'un coup de baguette, Horcus avait rendu l'endroit un peu plus agréable. « Voilà qui est mieux. Faîtes comme chez-vous, enfin, pas trop quand même. Sur ce, je vous laisse. N'oubliez pas de bien fermer la porte lorsque vous partirez. »
Ainsi se poursuit notre histoire. Quelques jours avant la rentrée, moi et ma sœur nous nous sommes rendu dans les boutiques pour répondre à la liste de fourniture qui nous avait été envoyé. L'argent qui nous restait sur nos comptes avait amplement suffit aux achats. Puis vint le retour à Poudlard. Une seconde année pas si différente de la première pour ma part. J'étais tout aussi inexistant et je ne m'en plaignais pas. Je continuais de traîner dans cette pièce qui me servait de planque et j'apprenais comme bon me semblait. Après les cours, je passais mon temps à fouiller, à fouiner, à trouver et à empiler tout ce que je trouvais. Je dressais une belle collection d'objets, la plupart étaient malencontreusement tombé des bras surchargés d'un professeur qui s'était empressé de confisqué des biens que le règlement interdisait. « Ce n'est pas raisonnable ! » Jugeait ma sœur, alors qu'elle feuilletait un livre sur l'étude du monde moldus que j'avais retrouvé sous une étagère de la bibliothèque. Il reposait là depuis suffisamment de temps pour être oublié des autres sorciers. Bien évidemment, des livres sur l'étude des moldus, il y en avait tout un tas dans les placards de la classe, mais celui-ci, était certainement unique en son contenu. Un contenu caractérisant les moldus d'une manière bien différente et plus valorisante de ce que l'on pouvait entendre entre les murs de certaine salle de classe. « Tu pourrais avoir des problèmes si jamais quelqu'un tombe sur... » Elle semblait bloquer sur le mot qui pouvait correspondre à ma collection. « ...mon trésor ? » Je lui souffle, amusé, mais sans un sourire sur les lèvres. « Si on peut dire. » Elle m'avait rétorqué. Croyez moi ou non, mais ma sœur appréciait tout autant que moi ces objets que je savais récolter, plus particulièrement ces livres d' une ancienne publication traitant le monde moldus.
Puis vint ce moment. Un an plus tard, après de longue vacance dans l'appartement d'Horcus. Ma sœur prit le risque de ce balader dans les couloirs de l'école avec l'un de ces livres d'étude moldus que Poudlard ne voulait plus, malgré que cet ouvrage soit dans l'une de ses poches, on parvint à la coincer. On la força donc à dénoncer l'endroit où elle se l'était procuré. J'en ignore encore ce qu'on lui a fait subir, mais ils y sont parvenu. La main mise sur mon trésor. Par chance je n'y étais pas. Je me souviens de ce jour où ma sœur avait été traînée comme moins que rien au milieu de la cour. « Que cela serve d'exemple ! Pour ceux qui auraient échos de quelques autres détenteur de ce genre d'objets, nous les invitons gracieusement à les dénoncer. Cinq points de maison leur seront remis. » Criait une vielle sorcière à la coiffe dégénérée, conduisant ma sœur en direction des grilles de l'école. Elle avait été renvoyé et ce définitivement pour 'mauvaise influence' envers les autres élèves par 'détention d'objets illégaux'. Je portais une part de responsabilité dans tout cela, mais semblerait que je n'en ressentais pas assez pour ne pas recommencer. Mon trésor m'avait été retiré et je comptais bien le récupérer. Depuis le départ de ma sœur, les dénonciations bidons allaient de bon train, tout comme les inspections surprises dans les dortoirs. Les seuls objets 'interdits' que je possédais, je m'en étais défait aussitôt avant que l'on me tombe dessus. J'étais bel et bien bredouille à présent, tout du moins, je faisais tout comme.
My opinion - Mon avis
Entre se faire mordre et se faire griffer. Le choix s'avère difficile lorsque l'on parle de Milice. Cependant, je me dis que comme dans toute chose, il y a du bon et du mauvais. Pourquoi ce serait différent dans ce cas ? Car l'idée des milices viendrait d'un être à la mauvaise psychologie ? Il est vrai...cela mérite réflexion.
par la plume de James D. Potter ϟ Posté Jeu Avr 25 2013, 12:53
Nan ça j'avais compris *pas si couillon le Jimmy* nan mais je comprends pas pourquoi elle se fait virer parce que à Poudlard y'a la matière étude des moldus (vu qu'on a un prof) donc... c'est ça que je comprends pas pourquoi on virerait la sœur mais j'aime bien l'idée quand même^^
par la plume de Anatole Melis ϟ Posté Jeu Avr 25 2013, 13:40
Coucou ! ^^
Enfait ( je sais pas pourquoi j'ai pensé ça >_<) je croyais que la matière de l'étude des moldus avait été proscrite de Poudlard, vu que les Mangemorts sont au pouvoir. Ainsi posséder un livre sur l'etude des moldus aurait été passible d'une amende. Enfin bref, faut que je corrige tout ça XD Quoi qu'il en soit, mon idée n'était pas de faire virer la soeur d'Anatole, seulement pour la possession d'un livre interdit, mais aussi parce qu'elle a dénoncé le 'trésor' de son frère ( je rappel que mon idée était que le trésor d'Anatole soit une collection d'objet interdit par l'établissement, des objets qu'il aurait récupéré par-ci et là. ) Et ne voulant pas porté atteinte à Anatole, sa soeur ce serait dénoncé comme étant la propriétaire de cette 'collection interdite'. Ce pourquoi, elle a été viréé dans mon histoire. Je sais pas si j'ai été très clair dans mon explication XD En tout cas, vu que l'étude des moldus est encore d'actualité à Poudlard, faut que je trouve autre chose. Si vous avez une idée à me proposer, je serais pas contre ^^ Woilà !
par la plume de Remus J. Lupin ϟ Posté Jeu Avr 25 2013, 16:37
Bah je me disais que, même si l'étude des Moldus existe toujours, elle est désormais faite de manière à dénigrer constamment leur manque de magie et par conséquent infériorité donc on peut peut-être imaginer que ton livre soit un ancien, un de ceux qui au contraire louent les qualités des moldus qui sont capables de tant de chose sans magie, non ?
par la plume de Anatole Melis ϟ Posté Jeu Avr 25 2013, 20:41
J'ai usé de ton idée Remus pour rendre un peu plus clair la raison du renvoi de la soeur d'Anatole. Voilà ce que ça donne:
Spoiler:
[...] « Ce n'est pas raisonnable ! » Jugeait ma sœur, alors qu'elle feuilletait un livre sur l'étude du monde moldus que j'avais retrouvé sous une étagère de la bibliothèque. Il reposait là depuis suffisamment de temps pour être oublié des autres sorciers. Bien évidemment, des livres sur l'étude des moldus, il y en avait tout un tas dans les placards de la classe, mais celui-ci, était certainement unique en son contenu. Un contenu caractérisant les moldus d'une manière bien différente et plus valorisante de ce que l'on pouvait entendre entre les murs de certaine salle de classe. « Tu pourrais avoir des problèmes si jamais quelqu'un tombe sur... » Elle semblait bloquer sur le mot qui pouvait correspondre à ma collection. « ...mon trésor ? » Je lui souffle, amusé, mais sans un sourire sur les lèvres. « Si on peut dire. » Elle m'avait rétorqué. Croyez moi ou non, mais ma sœur appréciait tout autant que moi ces objets que je savais récolter, plus particulièrement ces livres d' une ancienne publication traitant le monde moldus.
Puis vint ce moment. Un an plus tard, après de longue vacance dans l'appartement d'Horcus. Ma sœur prit le risque de ce balader dans les couloirs de l'école avec l'un de ces livres d'étude moldus que Poudlard ne voulait plus, malgré que cet ouvrage soit dans l'une de ses poches, on parvint à la coincer. On la força donc à dénoncer l'endroit où elle se l'était procuré. J'en ignore encore ce qu'on lui a fait subir, mais ils y sont parvenu. La main mise sur mon trésor. Par chance je n'y étais pas. Je me souviens de ce jour où ma sœur avait été traînée comme moins que rien au milieu de la cour. « Que cela serve d'exemple ! Pour ceux qui auraient échos de quelques autres détenteur de ce genre d'objets, nous les invitons gracieusement à les dénoncer. Cinq points de maison leur seront remis. » Criait une vielle sorcière à la coiffe dégénérée, conduisant ma sœur en direction des grilles de l'école. Elle avait été renvoyé et ce définitivement pour 'mauvaise influence' envers les autres élèves par 'détention d'objets illégaux'. Je portais une part de responsabilité dans tout cela, mais semblerait que je n'en ressentais pas assez pour ne pas recommencer. Mon trésor m'avait été retiré et je comptais bien le récupérer. Depuis le départ de ma sœur, les dénonciations bidons allaient de bon train, tout comme les inspections surprises dans les dortoirs. Les seuls objets 'interdits' que je possédais, je m'en étais défait aussitôt avant que l'on me tombe dessus. J'étais bel et bien bredouille à présent, tout du moins, je faisais tout comme.
par la plume de Choixpeau Magique ϟ Posté Ven Avr 26 2013, 17:22
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